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12 décembre 2014 5 12 /12 /décembre /2014 16:44

  Attention, pour qui est tant soit peu sensible, l'effet peut-être... Conséquent.

Apprécier au minimum la musique de Lisa Gérard (Dead can dance)

Au maximum éprouver l'authentique connexion !

Merci pour les retours d'expérience :

A la lecture de la vidéo,

et pour la suite !

Rendez-vous lundi matin 6h11...

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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 06:54

chat-joue-avec-chouette.jpg

 

S'il est de "bon ton" dans une société dite civilisée de se dire ou percevoir comme tolérant, parfois avec confirmation par des actions « d’engagement bien visibles » ce qui n’est pas loin d’être le contraire de l’engagement Véritable, c'est une autre paire de manches qu'il faut retrousser pour soulever le voile de l'intolérance et « Etre autant que possible » Tolérance.

Que nous le voulions ou non, la tolérance est liée à nos croyances.

C’est dire combien elle peut être limitée y compris chez ceux qui prétendent croire ou ne pas croire en un Dieu circonscrit à leur propre matière, le meilleur des jokers pour éviter de voir les choses en face, et garder les bésicles « bien pensantes » qui évitent de se remettre en question avec la profondeur requise.

Entre la tolérance que nous "croyons" incarner et celle que nous sommes capable de mettre en pratique le gouffre est visible notamment par les « actes terroristes », quels qu’ils soient, qui s'imposent à nous en reflet d'impuissance à évoluer…

Pour évoluer, la mise en pratique de la Tolérance revient à se confronter à la plus haute idée que nous sommes capables de concevoir par dialogue fertile en soi…

C’est bien autre chose que « d’aimer l’autre comme soi même », car c’est être capable d’aller au delà de soi même, encore faut-il pouvoir s’oublier un tant soit peu et OSER naviguer dans d’autres sphères que celles du connu, sans peur d’être entaché…

C’est être en mesure de se mettre à la place de l'autre, aussi "éloigné" de ce que nous croyons être soit-il.

La Tolérance est générosité d’être(s).

Si la responsabilité des actes d'un individu est limitée par les lois humaines, ce sont bien les actes qui sont jugés pas la personne, celle de ses pensées l'est au regard des Tables de la Loi.

La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible d'agrandir encore/toujours le champ vibratoire d’affinités. Il suffit de le VOULOIR…

L’humain n'est pas "figé" à ce qu'il fait de bien, de mal ou de neutre.

Il n’est pas ce qu’il fait car ce serait stérile mais il est "dans" ce qu'il fait", ce qui rend possible la réflexion.

 La vie est en "d'eux-venir" perpétuel...

Atteindre « l'Universel, l'Univers, Uni-Versum, l'Un-Multiple » pour l’homme/l’Humanité, c’est devenir les plus hautes vibrations qu’il/elle est capable de recevoir et surtout, les mettre en pratique ; à chaque Un ses responsabilités.

Elles sont bien plus « Un-Portantes » qu’il n’y paraît…

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26 juillet 2010 1 26 /07 /juillet /2010 08:04

inverted-pyramid.jpg

 

Elle est incontournable.

C'est un fondement "psy" à une certaine vision de l'économie, qui classe les besoins humains en ordre hiérarchique chez le consommateur.

Une sorte de rêve de ciblage pour qui veut vendre, elle sert aux gens du marketing pour positionner les produits.

La pyramide d'Abraham Maslow (à lire sur Wikipédia) permet de comprendre la hiérarchie des besoins de l'homme.
Selon lui et une foultitude depuis les années 40, la satisfaction d'un besoin ne peut être réalisée que si les besoins de niveau inférieur sont eux-mêmes satisfaits.

Les limites intrinsèques à ce système sont si peu remarquées, qu'elle est enseignée, transmise, répétée à l'envie comme base incontournable et vraie, en management par exemple.

Simple et facile à retenir, elle entretien l'idée que nous sommes en mesure de comprendre ce qui motive les gens dans leur vie.

C'est étrange, mais au vu du succés phénoménal des différents textes religieux en terme d'édition, de la capacité du plus grand nombre à préférer une télévision ou un téléphone portable à une assiette saine et leur apparence à leur être, il semble légitime de renverser la pyramide de cette "masse-low".

sablier.jpg

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23 juillet 2010 5 23 /07 /juillet /2010 12:42

heure.jpg

Le bonheur, contrairement à ce qu'en dit la pub, n'est pas simple comme un coup de fil.

Sauf, si le fil est cousu de blanc, évidemment !

Le bonheur, c'est juste la "bonne heure" !

Alors quand je pense que l'heure, (leurre, leurs...) en anglais, c'est "hour"qui peut aussi être our-nôtre (ok, c'est "capillaro-tracté" ), il me semble que le bonheur, c'est Nous : conscients d'être interconnectés !

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19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 19:00
Entre "lune-soleil" ( merci ;-) ),


les "SIGNS" en viaducs...

et "la route du temps",
oui, les "doubles causes" sont à l'oeuvre...
"We are all in together" !


Et mon "cher-i", "sa-muse" !



... Vous êtes mes moirs...
Etre, même oir,
être mémoire !
Et l'eau, source de vie.

A diffuser sans modération...
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3 mars 2009 2 03 /03 /mars /2009 11:56

Serait-ce parce que "l'on n'a rien à dire, qu'il faut fermer sa gueule" ?
Ce n'est pas faux ; il y a surtout que parler pour parler, parler pour ne rien dire, reste un acte créateur.
Même si c'est une parole superficielle, de celle qui se donne "au diable" d'égo !

Dès que nous nous mettons dans ce schéma, plus ou moins éloigné de qui nous sommes au fond, dès que les mots nous échappent dans cet instant d'éloignement émotionnel, nous générons un futur possible qui entre en concurrence avec celui qui nous correspond en réalité.

Et Dieu sait que des paroles de ce type sont monnaie courante.
Imaginez un peu, le chaos que ces paroles émises de toutes parts sur la planète, peuvent entraîner à leur suite ; il n'y a qu'à regarder autour de soi.



Vous le savez peut-être, nous sommes en période de Carême.
C'est l'un de ces mots dont la valeur et les implications m'avaient échappé en raison du détournement de sens dont ils sont l'objet.

Il est des lieux pour leur actualisation et recentrage de sens, des emplacements géographiques particuliers.
Par exemple ces endroits sur la planète parfois repérés depuis des temps immémoriaux.
De façon plus subtile, ils peuvent s'inscrire dans notre paysage, notre géographie intime.


Les pensées, puis les mots qui les expriment sont une musique, telle une nouriture, la vraie, celle qui nous rend vivants, celle de l'âme.




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11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 15:57

Earth Rainbow Network

"Be the change
you want to see
in the world."


  Mahatma Gandhi

Les temps actuels sont compliqués pour qui est un tant soit peu conscient de la réalité.
Il ne s'agit pas pour moi de contribuer à effrayer mais au contraire de faire preuve de lucidité.

Lorsque nous sommes dominés par la peur, comme par toute émotion même positive, c'est l'inverse qui se produit.
La maîtrise de soi est alors un vain mot.

Etre maître de soi dans la réalité, lorsqu'un évènement imprévu surgit, c'est être PRESENT ; or c'est chose impossible sous l'emprise émotionnelle.

La raison en est simple.
Toute émotion est liée au passé.
Sa raison d'être est l'instinct de "sur-vie".

L'émotion est une "ré-action" physiologique, un rappel au "pas-sait", une sorte de conditionnement qui nous informe par le corps de ce que notre esprit n'a pas réussi à faire entendre à notre raison.

Lorsque l'esprit est simplement présent, attentif et vigilant, nous avons toute lattitude d'action juste, adaptée à la situation.
Le temps peut alors devenir quasi élastique, mais c'est une autre histoire.

Si l'avenir tient à ce que nous en faisons à chaque instant, il est des lois inviolables et ce sont celles de la nature.
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27 janvier 2009 2 27 /01 /janvier /2009 19:48
Crow Indian Chief
Edward Curtis Collection

Par définition, une surprise est une bonne surprise.
Par définition aussi, une bonne surprise n'est pas prévue !
Par définition toujours, ce qui n'est pas prévu, tient de l'imprévu
échappe donc à l'intuition.

Pourtant, ce parleur silencieux, si fort en images d'amour,
attentif inconnu, reconnu dans l'ombre de l'inspiration recommandée
de sa poèsie anonyme,
guide les pas.

Il s'agit de ne pas croire qu'il soit sans espoir de retour.

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20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 22:32

abcmaths


Ce soir, de retour d'une "petite sauterie", entendez par là présentations en bonnes et dûes formes, cartes de visites petits fours et autres connivences, juste envie de transmettre à ceux qui en éprouveraient le besoin, une part d'espoir né d'échanges fertiles.


Dès que nous nous offrons le luxe de donner, en faisant corps avec l'action, sans arrière pensée, dans la juste mise en oeuvre de ce que nous sommes dans la perspective des idéaux qui nous font agir, la pensée "s'agit" et la magie opère.


La vie de l'esprit est si simple au fond, qu'il n'y a que les rappels "matériels" pour nous faire croire le contraire.

Ce qui semble parfois n'être juste qu'une question de timing, n'est en réalité qu'application constante de notre volonté à choisir parmi nos pensées, les plus lumineuses.


Il peut sembler y avoir dans cette réflexion quelque chose d'incongru avec notre époque et pourtant c'est ce que s'appliquent à mettre en oeuvre bien des anonymes, chacun au niveau qui est le sien.


Encore une fois, dès lors que dans quelque organisation, chaque élément fait "sa part", l'édifice final quel qu'il soit, ne peut qu'être source de joie pour tous.


Donnons de notre personne, même et surtout lorsqu'il nous semble qu'il n'y a plus de jus et par le fait même d'être sans attente de retour, en simple confiance en l'action juste, les conséquences et non le résultat (qui supose une fin) ne manquent pas de surprendre.

C'est à ce type de condensé que la vie me convie encore aujourd'hui.

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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 22:13

Le programme de la journée est chargé.
Plus qu'une demi-heure avant la fermeture, pour traverser la ville et
trouver une place assez proche pour rendre possible le challenge du chrono !

Mais pourquoi ces flics partout(*) et toutes ces barrières installées qui suppriment des emplacements ?
- T'inquiètes, tu vas l'avoir ta place !

- Déjà moins vingt, il va falloir en trouver une et vite puis courir !
Mince, vue trop tard celle-là,
loupée, ce n'est plus une place qu'il me faut, mais deux maintenant !

Moins le quart, en trouver une ici à cette heure-ci un jour de marché tiendrait du miracle...
Hop, juste là devant, une place se remplit, bon, là, c'est cuit...

Ah tiens, un couple s'approche en étaut vers une voiture grise sur la droite...
La jeune femme en un sourire interpelle le regard pour signifier un départ imminent, freinage :
- alléluhia, la voilà ta place !
Dans le même temps, un mouvement sur la gauche signale un autre départ...
- ça alors, deux en même temps, au même endroit, il faut le faire !
- Ben oui, t'en as demandé deux, en plus pile à l'heure !

Ah, être au bon endroit au bon moment...

(*)
les ministres des Finances et de l’Economie européens et les acteurs économiques sont là...

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